A ceux qui ont la gentillesse...
de passer par ici fréquemment. Je n'ai pas eu le temps de mettre à jour comme je veux le faire. Alors si vous voulez connaître ma théorie sur les échecs (on vient de m'en expliquer les règles, enfin, eh oui enfin, quelqu'un a pris la peine de m'expliquer comment ça marchait plutôt que de me narguer style "je sais et toi, tu ne sais pas, p'tite"- soit dit en passant on pourrait faire 2m10, on sera toujours "petite" pour les mâles qui veulent nous impressionner... qu'ils aient deux ans ou qu'ils soient limite grabataires). Forcément, moi quand on me dit qu'on est plus fort que moi, j'ai envie de prouver le contraire, quitte à me faire rouler dans la farine longtemps et rien que pour voir leur tête quand je commence à les battre. Elles sont compétitives, ces p'tites bêtes-là mais elles n'aiment pas "perdre". Ils perdent généralement tout intérêt dans le jeu quand on commence à les égaler voire les battre d'une courte tête. On n'a pas besoin de leur mettre la pâtée, suffit de les dépasser une fois ou deux et ça y est, ils se renfrognent.
Ils veulent bien apprendre aux filles mais surtout pas que ces dernières se prennent au jeu.
Et ça vaut pour beaucoup de choses...
En gros, quoi qu'on dise, se faire "battre" par une fille, qu'on soit dans le bac à sable ou qu'on soit à la maison de retraite et qu'on joue aux petits chevaux, reste inacceptable pour l'éternel masculin. Au fond, ils sont mauvais joueurs. Parce que, qu'est-ce que ça peut bien faire qu'on soit "meilleures" qu'eux dans certains domaines? Y aura toujours des domaines où on aura besoin d'eux et vice-versa, non?
Ce n'est pas ça qui rend la vie intéressante? Qu'on soit différents? Parce que forcément on a des approches différentes et on peut se passer de bonnes idées. Mettons les compétences en commun. Si on savait tous faire la même et unique chose, eh bien, on ne serait pas bien avancés.
Bref tout ça pour dire que j'ai plein de photos à mettre car j'en ai pris plein, que j'ai vu plein de trucs rigolos et que j'aimerais bien vous les raconter.
Alors, à très vite, ici même, "si vous le voulez bien" (comme disait un célèbre animateur de radio).
Sur ce, je lâche la ligne.